C'est en 1990 que j'ai rencontré la
sténopéphotographie. Quand j'ai vu des photos au sténopé
pour la première fois je les ai trouvées quelque peu différentes
des photos que j'avais vue : le contour est plus sombre que le centre,
le sujet en motion est flou et l'image n'est pas nette.
Pendant que je voulais prendre des photos
au sténopé moi-même fascinée par ces photos-là
il m'est arrivée à trouver un stage et j'ai pu commencer
à vivre avec le sténopé.
L'intérêt pour la sténopéphotographie
grandit de plus en plus depuis ces années au Japon. Il me semble
que le nombre grandissant de gens trouvent quelques sens dans l'acte de
prendre des photos au sténopé, un procédé qui
exige du temps et des peines, malgré à l'époque où
nous vivons entourés des choses si convénientes. C'est à
dire que nous y redécouvrons les principes fondamentaux que la photographie
est un dessin de la lumière ou nous sommes facsinés par le
charme des images inédites au delà de notre imagination,
qui sont différentes de nos photos "instantanées"
prises chaque jour par l'appareil photo.
Les photos montrées ici ont été
prises à Paris de 1993 à ce printemps. Elles sont des paysages
parisiens, qui sont "banales"
et si familières au travers de différents média mais
je serai heureuse si vous redécouvrez le charme et la particularité
de la sténopé- photographie, appellée l'origine de
la photographie, par opposition à des photos prises avec une lentille.
Mieko
TADOKORO
PARIS dessiné par le Sténopé
organisée par Sankei Living Shinbun-sha |
|
du 30 avril au t mai 1997
du 15 août au 20 août 1997 |
Izutsuya, Kitakyushu Kokura
Grand Magasin Tokyu, Kichijoji, Tokyo |
|